Joyeuse fête de la Saint-Sylvestre

L’année 2019 s’achève et c’est aussi l’occasion des bilans pour de nouvelles perspectives en 2020;

Chers amis,

L’année s’achève. Elle a été pour certains une année difficile ou plus difficile que les précédentes et pour d’autres une année paisible, de réalisation ou de jalons posés pour la construction de leurs projets, de leurs rêves. Quoiqu’il en soit, ce ne peut et ne doit pas être une année stérile. Quel que soit ce qui a été vécu, il est bon d’en tirer des enseignements et d’être également reconnaissant pour la vie qui vous est donnée, reconnaissant également envers les autres, bon aussi de vous féliciter pour le courage dont vous avez fait preuve et bon d’avoir de la bienveillance pour vos faiblesses, sans bien sûr parler de complaisance.

Soyons sûrs (nous ne sommes pas naïfs 😊), l’année 2020 apportera son lot de défis à relever et il faudra mener les combats avec courage. Mais elle apportera aussi son lot de joies et d’amour. C’est à chacun d’être acteur de sa vie, de ne pas la vivre passivement, mais de la créer.

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Saint-Sylvestre _ Sois une voix pas un écho

Je vous souhaite un bon passage de 2019 à 2020.

Yveline

Vous voulez maigrir ? Voici ma méthode. Résultats – Bilan. X.

Je veux être heureux ? J’agis ! Je ne me contente pas de me lamenter. Mes kilos superflus me chagrinent, ou pire me pourrissent la vie ? Je passe à l’action.

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Le bonheur…

Où est donc le bonheur ?

Où donc est le bonheur ? disais-je. – Infortuné !
Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné.

Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère,
Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère,
Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment
Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament !

Plus tard, aimer, – garder dans son coeur de jeune homme
Un nom mystérieux que jamais on ne nomme,
Glisser un mot furtif dans une tendre main,
Aspirer aux douceurs d’un ineffable hymen,
Envier l’eau qui fuit, le nuage qui vole,
Sentir son coeur se fondre au son d’une parole,
Connaître un pas qu’on aime et que jaloux on suit,
Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit,
Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes,
Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes,
Tous les buissons d’avril, les feux du ciel vermeil,
Ne chercher qu’un regard, qu’une fleur, qu’un soleil !

Puis effeuiller en hâte et d’une main jalouse
Les boutons d’orangers sur le front de l’épouse ;
Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé
Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ;
Voir aux feux de midi, sans espoir qu’il renaisse,
Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse,
Perdre l’illusion, l’espérance, et sentir
Qu’on vieillit au fardeau croissant du repentir,
Effacer de son front des taches et des rides ;
S’éprendre d’art, de vers, de voyages arides,
De cieux lointains, de mers où s’égarent nos pas ;
Redemander cet âge où l’on ne dormait pas ;
Se dire qu’on était bien malheureux, bien triste,
Bien fou, que maintenant on respire, on existe,
Et, plus vieux de dix ans, s’enfermer tout un jour
Pour relire avec pleurs quelques lettres d’amour !

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