Commence la journée en remerciant.

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Commence la journée en remerciant. Rends-toi compte que tu es puissamment béni et que Mes bénédictions sont déversées en permanence sur toi. Ton manque de reconnaissance d’hier importe peu; c’est ton attitude actuelle qui importe. Laisse le passé derrière toi.

Ne perds pas de temps à t’appesantir sur tes erreurs passées; apprends simplement à travers elles, puis avance et jouis de la vie, en remerciant constamment pour toute chose.

Quand tu es reconnaissant et que tu apprécies toutes les bonnes choses dans la vie, l’amour coule librement en toi et à travers toi. C’est lorsque tu oublies de remercier et d’apprécier tous Mes dons parfaits et bons que tu deviens sec et fragile. Tu te préoccupes de toi-même et cesses de t’intéresser à tes compagnons humains. La façon la plus rapide de changer cette mauvaise attitude est de commencer à penser aux autres et de commencer à vivre pour le tout et à lui donner. Tu verras que le soi et le souci de soi fondra dans l’arrière-plan et deviendra insignifiant. Pourquoi ne pas le faire dès maintenant ?

Méditation du 21 janvier extrait du livre de Eileen CADDY : « La petite voix – méditations quotidiennes ».

Le pouvoir de la gratitude.

La petite voix…

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Je fais du rangement et je m’apprête à jeter l’inutile. Je tombe sur « la petite voix » et je me rends compte que la première page a été arrachée et je me dis : « bon pour la poubelle ! »
Avant de procéder à un lancer vers la corbeille, je choisis de lire ce que Eileen CADDY a écrit dans son livre « la petite voix » pour le 19 janvier…

Tu ne peux espérer croître spirituellement à moins d’être préparé à changer.
Ces changements peuvent survenir petit à petit pour commencer, mais, plus tu avances dans le nouveau, plus ils deviendront importants et toucheront à ta vie toute entière. Parfois il faut un bouleversement total pour amener une façon de vivre entièrement nouvelle. Mais c’est stupéfiant comme tu peux t’habituer rapidement au changement tant que tu as du courage et la conviction que c’est pour un mieux. Que la perfection soit toujours ton but. Continuer à t’étirer. Cherche à atteindre ce qui est apparemment impossible. Continue à grandir en sagesse et compréhension, et ne soit jamais, à aucun moment, satisfait de rester statique. Il y a toujours quelque chose de plus à apprendre. Il y a toujours quelque chose de nouveau et de merveilleux à découvrir dans cette vie, alors élargis ta conscience et ton imagination pour lui faire de la place. Reste ouvert et réceptif afin de ne rien manquer.

Je garde donc mon livre et je continue à m’étirer…

Continuer la lecture de « La petite voix… »

Voeux 2015 – Bonne année

personnage voeux 2015

 

Penser grand, rêver grand !

Wolfgang Amadeus Mozart

Concerto n ° 3 en mi bémol majeur pour cor et orchestre , K. 447_ I. Allegro moderato

Concerto n ° 3 en mi bémol majeur pour cor et orchestre , K. 447_ II . Romanza_ Andante

Concerto n ° 3 en mi bémol majeur pour cor et orchestre , K. 447_ III . Rondo_ Allegro vivace

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Une pensée est un fait.

Le pouvoir qui caractérise le succès est le pouvoir de votre pensée. Comment accorder votre vie à vos projets et à vos ambitions ?

Une pensée est véritablement un fait puissant lorsqu’elle allie un objectif défini (la richesse, par exemple), la persévérance et le désir.

Prenons un exemple précis. Il y a quelques années, un désir naissait dans le cerveau d’Edwin C. Barnes : devenir l’associé du grand Edison, travailler avec et non pour l’inventeur. Mais comment transformer ce désir en réalité ? Barnes ne connaissait pas Edison et, de plus, il n’avait pas assez d’argent pour s’offrir le train jusqu’à East Orange, dans le New Jersey. Ces deux obstacles, qui auraient suffi à décourager la plupart des gens, Barnes allait les surmonter par son obstination et sa volonté.

Edison le regarda

Il se présenta au laboratoire d’Edison et déclara sans détour qu’il venait faire affaire avec lui. Plus tard, relatant cette première rencontre, Edison raconta : « Il se tenait debout devant moi pareil à un vagabond ; mais quelque chose dans l’expression de son visage laissait pressentir qu’il ne s’en irait pas sans avoir eu ce qu’il voulait. Des années d’expérience m’avaient appris qu’un homme qui désire quelque chose à un point qu’il est capable, pour l’obtenir, de jouer tout son avenir sur un simple coup de dé est sûr de gagner. Je lui procurai l’occasion qu’il demandait parce que je vis qu’il était fermement décidé à l’obtenir. Les événements qui suivirent me donnèrent raison.

L’apparence extérieure du jeune homme n’avait eu aucun poids dans son succès, au contraire elle l’eût plutôt desservi. La seule chose qui compta fut la détermination qui se lisait en lui.

Les mois passèrent. Apparemment rien ne permettait à Barnes de se rapprocher du seul but qui comptait à ses yeux. Cependant, deux facteurs essentiels se précisaient en lui : son désir de devenir l’associé d’Edison s’intensifiait, il se sentait prêt à cette collaboration et il était décidé à le demeurer jusqu’à ce que son désir se réalisât. Il ne se disait pas : « À quoi bon ? Je ferais mieux d’abandonner et de me contenter d’une place de vendeur dans la maison. » Au contraire, il pensait : « Je suis ici pour collaborer avec Edison et je le ferai, dussé-je consacrer le reste de ma vie à atteindre ce but ! » Et il le pensait vraiment.

L’histoire des hommes serait bien différente si ceux-ci avaient un seul but précis et s’y tenaient jusqu’à le transformer en une obsession tenace ! Le jeune Barnes l’ignorait peut-être à cette époque, mais son obstination et son acharnement allaient avoir finalement raison de tous les obstacles.

la chance entre par une porte dérobée

Enfin l’occasion qu’il attendait se présenta, mais du tout comme il l’avait imaginée.

Edison venait d’inventer une nouvelle machine de bureau connue à l’époque sous le nom de Machine à dicter d’Edison. Ses employés, peu enthousiastes et persuadés qu’elle ne trouverait jamais acquéreurs, hésitaient à la vendre. Barnes sut immédiatement qu’il le pourrait. Il le dit à Edison, qui le laissa courir sa courir sa chance. Il la vendit si bien qu’Edison lui en confia le marché pour tout le pays. Cette association rendit Barnes très riche. Combien exactement lui rapporta-t-elle ? Lui seul le sait. Peut-être deux ou trois millions de dollars, mais cette somme, si élevée soit-elle, devient insignifiante comparée à la richesse que Barnes avait acquise, car il savait désormais qu’une pensée peut se concrétiser si l’on agit suivant quelques principes (qui vous sont justement expliqués dans ce livre). Barnes désirait fortement devenir l’associé d’Edition et il désirait faire fortune. Il n’avait qu’un seul atout dans son jeu : il savait ce qu’il voulait et il était prêt à persévérer jusqu’à la réalisation de son désir. Une pensée est un fait.

Extrait du chapitre 1 « Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill.