Nasty Letter
Somebody wrote me, a nasty letter,
But they didn’t, sign their name
I think I know, I know who wrote it
Well I recognize, recognize that hand
Its getting warm
Oh so warm
Its so warm
On a winters day
I’m reading backwards, reading backwards,
On this page
Hoping to defend
If the devil come
I’ve been wrongly, wrongly accused
Been wrongly, I’ve been wrongly,
I’ve been wrongly, wrongly accused.
Otis Taylor, né en 1948 à Chicago, est un chanteur de blues et un musicien multi-instrumentiste dont les talents incluent la guitare, le banjo, la mandoline, l’harmonica. En 2001, il a reçu une bourse du Sundance Film Composers Laboratory.
En 2009, il a participé à la bande sonore du film Public Enemies avec le titre Ten Million Slaves issu de l’album Respect the Dead. Sa chanson Nasty letter est à la fois présente dans ce film et dans le générique de fin du film Shooter, tireur d’élite sorti en 2006.
Otis Tayor grandit à Denver (Colorado) en étudiant le banjo. Ses parents lui transmettent une culture jazz etrhythm’n’blues ; après avoir appris que le banjo était à l’origine un instrument africain; utilisé quasi exclusivement pour le Bluegrass, il se passionne pour le country blues et lefolk, la guitare puis l’harmonica. Il fonde son premier groupe de blues ; puis se rend à Londres dans les années soixante, se produit dans des styles plus rock, et abandonne la musique en 1977 pour exercer d’autres activités, entre autres celle de brocanteur.
Otis Taylor revient à la musique en 1995, et enregistre dès lors neuf albums dans plusieurs maisons de disques. Comme tout bluesman, ses textes évoquent les dures réalités de la vie, en particulier celles de la communauté noire. Certains thèmes communs dans sa musique sont l’assassinat, le racisme, la pauvreté et le besoin de rédemption. À ce jour, Otis Taylor a été onze fois cité aux Blues Music Award (en).
Les critiques du magazine Down Beat ont décerné le titre « CD Blues de l’année » à l’album Truth Is Not Fiction en 2002 ; la même récompense aux albums Double V en 2005, Definition of a Circle en 2007, et Recapturing the Banjo en 2008.
L’album Recapturing the banjo, considéré par Down Beat comme le meilleur album de la décennie dans sa catégorie, a été une tentative de renouer avec les véritables origines africaines du banjo . Extrait de Wikipédia.
Blue Rain In Africa
I saw a white, white buffalo
On the cold …the colder plains
When I was very, oh
When I was very young
Must have been, must have been
On the television
Oh there must be, blue rain in africa
There must be, blue rain in africa
[Guitar break]
Well I saw, a white buffalo
Oh, yeah, on the dakota
So there must be, blue rain in africa
Oh there must be, blue rain in africa
[Guitar solo]
I saw the eagle, I saw him flying
At night,
I saw the eagle, I saw him flying
At night
There must be, blue rain in africa
There must be, blue rain in africa
And my dream, oh, my dream.
J’adore le blues et le sien est particulier et si émouvant
Oui, il y a quelque chose dans sa musique qui touche au coeur et à l’âme. Bonne soirée. Je passe te lire dans le WE. Bises.
C’est exactement mon ressenti. Ne te sens surtout pas obligée de venir chez moi, je sais que tu travailles, tu as une famille et il serait bon que tu profites de la Nature qui s’éveille. Tu sais, que le lien qui nous unit est fort
Merci Yveline, je ne connaissais pas, j’aime beaucoup le blues aussi et je trouve que le sien sa musique et sa voix se démarque des autres, beau partage mon amie. Bon mercredi, gros bisous, Gigi 🙂
Contente que tu apprécies sa musique Gigi. Bonne soirée à toi. A bientôt sur ton blog et celui de Delvina.
Que de la bonne guitare!
ça gratte merveilleusement bien en effet. Que de la bonne !
A reblogué ceci sur Le blog de Fanny Freya.
Bonsoir Fanny,
Contente que tu aies apprécié ce moment musical. Toutefois, il me semble que le reblogue n’apparaît pas sur ton blog. Je te souhaite une bonne soirée et te dis à bientôt sur ton espace.