Extrait du livre » Petit guide de l’âme heureuse » de « Aude de Béarn »
FINALEMENT, NOUS SOMMES TOUS D’ACCORD…
Et pourtant, tant de sang a coulé par le passé et coule encore, alors que toutes les religions concordent sur les mêmes points « Essence-Ciels ». Et si nous apprenions ensemble à garder le message ultime, commun à tous les enseignements ?
Finalement, ne se résument-ils pas à ces deux préceptes qui ne tiennent qu’en un mot ? AMOUR.
- L’AMOUR et le respect de l’être humain.
- L’AMOUR du ciel et de la terre pour ses merveilles.
1. L’amour et le respect de l’être humain
Si chacun se cantonnait seulement à la moitié de « l’enseignement universel » et cherchait simplement à respecter l’autre, ce serait le bonheur assuré ici-bas.
Nous aurions gagné le grand défi de l’incarnation. Il ne s’agit pas de se jeter corps et âme dans des missions humanitaires nichées au bout du monde mais seulement de faire en sorte de ne pas créer de tensions autour de soi. Mieux encore ? Assainir les terrains « minés » de nos vies. Car, oui, on en a tous et, non, rien n’est impossible quand on veut changer les choses.
En donnant des coups de pouces ça et là, on bâtirait durablement un monde plus vivant et plus vivable. Est-ce si inhumain de faire un peu de bien ? Est-ce si compliqué de se réjouir franchement pour les autres ? Est-ce si difficile d’être simplement à l’écoute d’autrui ? Est-ce si pénible de prendre ensuite en considération ce qu’il a dit ? Est-ce si difficile de demander pardon parfois ?
2. L’AMOUR du ciel et de la terre pour ses merveilles
Que ce deuxième précepte unanimement révélé contamine les cœurs à leur « bonne heure » pour leur plus grand bonheur.
Frères
Parmi les dons de Dieu,
Vous chercherez à obtenir ce qu’il y a de meilleur.
Eh bien, je vais vous indiquer une voie supérieure à toutes les autres.
J’aurai beau parler toutes les langues de la terre et du ciel,
Si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour,
Je ne suis qu’un cuivre qui résonne,
une cymbale retentissante.
J’aurais beau être prophète,
avoir toute la science des mystères,
et toute la connaissance de Dieu,
et toute la foi jusqu’à transporter les montagnes,
s’il me manque l’amour, je ne suis rien.
J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés,
j’aurais beau me brûler vif,
s’il me manque l’amour,
cela ne me sert à rien.
L’amour est patient,
l’amour est serviable,
l’amour n’est pas envieux,
il ne se vante pas,
il ne se gonfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il n’est pas intéressé,
il ne s’emporte pas,
il n’entretient pas de rancune,
il ne se réjouit pas
de voir l’autre dans son tort,
mais il se réjouit avec celui qui a raison;
il supporte tout,
il fait confiance en tout,
il espère tout, il endure tout.
L’amour ne passera jamais.
SAINT PAUL, APÔTRE,
1re lettre aux Corinthiens 12, 31 – 13, 8A
Excellent message. Merci !!!
Merci Dominique. Je connais la profondeur de ton commentaire.
Bonne soirée à toi.
Merci pour ces textes si inspirants.
Une belle synchronicité, tu les as postés le 6/6 de l’année universelle 6, ce Nombre étant celui de l’amour…
Ah, je suis ravie que tu me dévoiles cette synchronicité !
Je me souviens d’un commentaire de Sharon Stone qui disait qu’elle avait accompagné l’un des ses amis qui mourait du sida, et que dans son dernier souffle, ce dernier lui a dit que seul l’amour comptait.
Elle m’enchante aussi et prouve qu’il n’y a pas de hasard 😀
Très émouvante la conclusion de cet homme
quand je me sens moins bien, moins stable, je reviens toujours à l’amour pour m’apaiser et apaiser mon rapport aux autres. C’est le seul point de vu qui réussit à tous les coups à me placer au-delà des « problèmes » et à tout supporter.
Malgré ton jeune âge, tu montres encore une fois que tu es pleine de sagesse.