Un grand merci à Elisabeth, amie et auteure du blog « tarot psychologique ⎟ Pour mieux se retrouver » pour son commentaire sous forme de réponse.
Un grand merci également à ma mère, silencieuse sur le blog, mais animée du regard bienveillant de l’expérience.
Khalil Gibran :
« Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter,
pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie;
Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable ».
J’adore ce texte de Khalil Gibran 😉
Ah ! Il est magnifique !
Très touchée, Yveline, j’adore tous les textes de Khalil Gibran.
Tendresses à toi à ta mère, les femmes qui savent transmettre l’essentiel…
◕‿◕
Bonne journée.
Ce magnifique texte est vérité profonde. On a toujours tendance en amour, que ce soit envers ses enfants ou ses proches à se positionner dans la possessivité.
Voilà des mots qui remettent les pendules à l’heure.
J’ai découvert Khalil Gibran chez Elisabeth. C’est excellent de sagesse pure.
Bises à toi Yveline.
Oh oui Marie-Hélène, de la sagesse pure ! Du respect de l’autre aussi. Rien ne sert de vouloir réduire notre propre peur d’exister en essayant d’asservir les autres.
Tu as de toute façon une grande sagesse et un regard très lucide sur la vie et les personnes, parce-que tu as cette grande capacité d’observation. Je le lis dans tes écrits.
Bises et bon weekend.
Contente de voir que tu nous régales toujours de tes jolis textes, j’aime particulièrement celui-ci car je me fais souvent cette réflexion entre les rapports enfants/parents… je n’ai toujours pas lu du Khalil Gibran, il faudra que je m’y mette car à chaque fois que je tombe sur un extrait ça me parle!
Contente que tu aies été touchée par ce texte. Cette philosophie, j’ai toujours essayé de l’appliquer et je crois que j’ai toujours eu conscience que les choses n’étaient pas immuables. Tout évolue, tout est mouvement. L’autre, quelque qu’il soit, est libre, est un être à part entière et s’agissant en particulier des enfants, ils grandissent, s’envolent et il faut les lâcher prise. De cette manière, nous sommes capables de donner de l’amour, du temps, de l’attention, mais de vivre également pour nous, de pas nous nier et ainsi d’éviter toute aigreur par la suite.
Rien, personne ne nous appartient. La vie même nous est prêtée, alors…
Ce magnifique texte, je ne le connaissais pas. C’est Elisabeth, qui en répondant à un de mes commentaires, me l’a fait découvrir. Et comme toi, je vais lire Khalil Gibran.
Je vais aussi faire une tour sur ton site de photos (http://www.minomoriphotographie.com/ )
Ah oui ça ne m’étonne pas d’Elisabeth, on est toutes souvent sur la même longueur d’onde 😉 J’espère que le tour sur le site t’auras plu! A très bientôt, bon week-end sous le soleil ! 😉
Oh oui, tu sais que je suis fan ! J’aime beaucoup tes photos, en particulier la série « Sourires d’espoir ». Les enfants sont magnifiques. Bon weekend !
Très belle et profonde réflexion de Khalil Gibran.
Un auteur inspiré que j’aime beaucoup.
Merci pour ce riche partage Yveline et merci à Elisabeth.
Une Lumineuse journée à vous ainsi qu’un excellent weekend.
Gros bisous.
Merci Alissa.
Très bonne journée.