L’apprentissage de jour en jour. Extrait du livre « Petites pensées pour vivre plus léger » de Françoise Réveillet.

Formation

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On apprend sans cesse des autres et aux autres. On admet généralement que les jeunes acquièrent des connaissances pour grandir et que les plus mûrs leur transmettent ce qu’ils savent. Il seraient néanmoins simpliste d’imaginer que l’âge est synonyme de sagesse. Si l’on veut se donner toutes les chances de grandir durant toute sa vie durant, pas de meilleure voie que la formation continue.

La posture d’ « étudiant permanent de la vie » requiert de l’humilité, de la curiosité mais aussi l’envie de progresser dans tel ou tel domaine de son existence.

Cela nous pousse à aller de l’avant, à aller plus loin dans nos connaissances et nous insuffle de l’énergie.

A tout âge, on peut apprendre le suédois, se lancer dans un nouveau métier, découvrir un nouveau passe-temps, jouer un nouveau rôle dans une pièce de théâtre, mieux se connaître, surmonter un obstacle, s’accepter tel que l’on est… il suffit d’en concevoir le souhait et d’agir pour cela.

Qu’écrire de plus après ce merveilleux texte de Françoise Réveillet ?

Simplement dire que je crois qu’il ne faut pas se limiter, il ne faut pas croire que l’on est trop vieux pour s’engager dans de nouveaux apprentissages. Laissons libre cours à notre envie d’apprendre, de vivre.

Auteur/autrice : Yveline

Laisser le passé au passé. Se libérer des blessures. Avancer. Assumer nos responsabilités pour changer nos vies. Être, puis agir. Être heureux.

2 réflexions sur « L’apprentissage de jour en jour. Extrait du livre « Petites pensées pour vivre plus léger » de Françoise Réveillet. »

  1. C’est bien vrai Yveline, il est possible de parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie, mais il y a une énorme différence entre la connaissance et la sagesse. La sagesse implique l’amour, en premier, en dernier et tout le temps, alors que la connaissance peut être utilisée dans les buts les plus répréhensibles qui soient…………..Amicalement Bruno

    1. Bien sûr Bruno. Mais à travers le texte de Françoise Réveillet, ce n’était pas tout à fait le sens de mon propos. Ce que je souhaitais mettre en avant, ce n’était nullement la réussite sociale, ou la course effrénée après plus de « pouvoirs…d’ailleurs, cela n’a pas de sens, puisque peu de chose nous sommes », mais bien cette curiosité, cette envie d’apprendre des choses nouvelles, qui peut aussi bien passer par l’étude d’un instrument de musique, la pratique d’un nouveau sport, celle d’un art, la découverte d’autres personnes… Toutes ces choses qui nous rendent bien vivants, pleins de gaieté, optimistes, avec des projets. Or, question d’âge parfois, l’on se dit que l’on est trop vieux pour s’engager dans de nouveaux apprentissages et l’on s’auto-limite.

      Quant à la sagesse, je ne sais si elle implique l’amour toujours. En ce qui me concerne, je dirai qu’elle est un regard apaisé, car la sagesse implique parfois de savoir se protéger ou de mettre des limites.

      Et entre de multiples connaissances (qui peuvent s’avérer fort inutiles sans LA CONNAISSANCE), je choisirai sans hésiter « un peu » de sagesse, qui face aux différents savoirs pourrait être définie comme la capacité à prendre du recul envers ces pseudo-connaissances que nous croyons posséder.

      La sagesse, capacité à observer, à réfléchir, à l’introspection, ralentissement, modestie…

      Bruno, merci pour ton commentaire et tous les autres. J’apprécie ce partage d’idées.

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